En voila un petit recueil de nouvelles atypique, comme le laisse suggérer très largement son titre, se plonger dans ce petit livre d'une centaine de page, est... comment dire... une expérience étrange ? initiatique ? originale ? En fait, un peu de tout ça à la fois, mais avec encore quelques ingrédients de plus ! C'est dire si le menu s'annonce relevé.

En tout, quatorze nouvelles, plus où moins longues, à déguster comme de petits bonbons acidulé (faute de mieux), comme autant de flash neuronales, palpitations cérébrales incontrôlables, nous emmenant tantôt au paroxysme du trip, tantôt vingt mille lieux sous les mers, dans un véritable enfer... Et oui le plus dure sera la chute...

Car ces nouvelles sous ecstasy sont sans concessions. Si elles nous plongent dans tout ce que la substance à de festif, inhibiteur et hilarant, elle n'oublie pas son second pan, la descente, la chute, les crises d'angoisses, et les humeurs dépressives, tel Icard qui voulant voler toujours plus haut, se brûle les ailes, le fêtards voulant toujours plus de ravissement finit par se griller tous les neurones...

Un livre, léger et grave à la fois, doux et dure, véritable montagne russe littéraire, à l'image des sensations délivrée par la substance désignée dans le titre...

A noter tout de même que cet ouvrage n'est pas à mettre entre toute les mains, premièrement du fait des sujets abordés, deuxièmement a cause des nombreuses scènes explicites contenues dans le livre.

Cet avertissement pris en compte, un bon petit recueil de nouvelles à lire sans modération.

Encore une lecture qui serait restée dans l'ombre, si je n'avais pas eu ce temps libre bien involontairement... Et oui, lorsque l'on est cloîtré chez soit, sans télévision, et qu'on est libraire, de surcroît amoureux des livres et particulièrement intéresse par l'histoire, on se laisse tenter par un roman, qui en temps normal n'aurait certainement pas retenu l'attention !

Et bien ce mal est maintenant réparé, et de bien belle façon. Nous sommes en présence d'un roman historique dont l'auteur, Jean Diwo, propose un voyage de le quattrocento italien, age d'or de la renaissance dans la grande botte.
Une manière originale de découvrir cette période à travers le regard de personnages aussi illustres que Antonello da Messina, Fra Angelico, Leonardo da Vinci... et la liste est longue...

Plongez dans un temps révolu, ou la simple traversé de l'Italie représente une expédition de plusieurs jours, et la traversé de l'Europe un périple de plusieurs mois !
La guerre est permanente, le lendemain toujours incertain, notamment lorsque l'on est artiste, dont le destin est nécessairement lié à une famille, un protecteur, un pape, autant de personnes pouvant disparaître à chaque instant, ou pire abandonner son artiste pour un autre.

Derrière l'histoire de ce siècle doré, des destins d'artistes exceptionnels, mis en relief par une plume habile et documentée.

Et puis, c'est l'occasion de se prendre à rêver, on s'imagine déambuler dans les ruelles florentines ou milanaises, bordées d'échoppes et d'artisans en pleine effervescence. On se laisse border par l'envie de chevaucher au gré des chemins accidenté, allant à l'encontre de personnes et contrées inconnues.

En bref un bon roman de plus de 500 pages qui comble sans problèmes quelques longues soirées d'hiver.

le vinyle, support largement tombé en désuétude refait surface jusque dans les étalages... Rien d'étonnant à mes yeux, puisque le "disque de papa maman" à toujours jouis chez moi d'une cote de popularité impressionnante, et cela pour tout plein de super bonnes raisons.

Déjà, un vinyle est un bel objet, et son étui est souvent bien plus beau que ceux de format cd. Déjà, taille du support oblige, il y a plus de place sur la jaquette, donc les photos sont plus grandes et de meilleur qualité. Ensuite, le disque est très souvent accompagné d'un livret complet, reprenant paroles et photos, qui est généralement plus conséquent de ceux que l'on trouve dans les CD. Enfin, autant, je prends du plaisirs à manipuler un bon vinyle, qui, a l'image d'un bon livre, a une âme, une odeur, un contact, au combien supérieur aux cd. Brefs, le vinyle, c'est le pieds.

Et puis les vinyles ne coûtent pas très cher, pour peu que l'on se donne la peine de faire les vides greniers... Souvent, il est possible de s'offrir de véritables morceaux d'anthologie pour quelques euros... Surtout si l'on aime la musique rock du début des années 60 aux années 90... Ainsi, il n'est pas rare de tomber sur du Beatles, du RollingStone, du Chuck Berry, du Elvis (et oui que voulez vous, il me donne la banane... je sais, je sais, elle était facile celle la !!!), mais aussi, AC-DC, Queen, les PinkFloyd, a peu près tout ce qui peut exister en musique classique, et puis il y a le Grand Jacques Brel... dont je suis un fan inconditionnel ! b'en quoi, personne n'est parfait.

Mais le plus important dans ce support reste certainement le son... Amoureux de la pureté absolue, passez votre chemin ! Ici ce que l'on recherche, c'est le grain du sillon, lorsque l'on place le diamant sur le disque, le petit grchgrchgrch en toile de fond, la profondeur et la chaleur du son qui s'échappe des enceinte... Un charme surannée qui opère encore et encore, envoûtantes mélodies ou groupes énervés aux guitares saturées n'ont pas la même intensité écoutés sur une platine vinyle ! Rien de comparable avec les autres support : Pratique le vinyle ? pas le moins du monde ! Solide ? certainement pas, quoi que si l'on y fait attention, et qu'on les stock convenablement, ils vous régaleront pour des années.
Non le vinyle n'est pas mort, mieux, il a encore de bonnes années devant lui. Il n'est pas rare aujourd'hui de trouver des nouveautés sortant en CD et en vinyle, alors pourquoi se priver ? Trop cher : même pas ! Nous l'avons déjà dis les disques ne sont pas très cher en occasion et  neuf, ils sont généralement affichés sensiblement au même prix que les CD. Dans ces conditions pourquoi bouder son plaisir ! D'autant plus que les platines, si elles sont aujourd'hui difficile à dénicher, ne sont pas trop chères et souvent de bonnes qualités. Et puis le marché de l'occasion fourmille de bonnes affaires qui vous tendent les bras, alors ouvrez l'oeil, et le bon...

Bref, cet avis n'est pas objectif du tout, pour rien au monde je n'échangerais ma platine pour des support numériques. Pour être honnête, il faudrait peut être soulever quelques inconvénients : pour pleinement profiter de ce support, il faut souvent procéder une chaîne à éléments séparés, et le stockage des disques prends de la place... Mais le prix a payer est bien maigre pour redécouvrir le plaisir d'écouter...

c'était MrLeRoux en direct de son fief haut perché du Quercy libre et indépendant... mais bon la présentement il faut que je vous laisse, le devoir m'appelle, ou plutôt pleur... J'arriviiiiiiiiiiiiiiiiiive mon Petithomme !!!!

Voici mimounette... Alors que je vous explique, mimounette est une borne arcade de 1990 type compacte line, avec connecteur jamma, slot mvs et écran 25'... En bref le must pour un fan de vieux jeux d'arcade type Kof, Shoot et autres petites perles depuis longtemps tombées en désuétudes, mais qui réchauffent encore le pauvre petit cœur de nostalgiques patentés, parmi lesquels votre serviteur MrLeRoux...

A moi les hit SNK de la feu NeoGeo, le tout dans des conditions optimales ! SNK, trois lettres magiques faisant resurgir des tréfonds le glorieux passé de nos jeunes années passées dans des salles puantes et embrumées a essayer vainement de vaincre, peut importe qui du moment que le nom qui s'affichait en haut du hit score soit le votre...

Et voila que maintenant cette machine est mienne, trônant fièrement  dans le bar, attendant qui aura le courage de relever le défi... Et croyez moi le défi est à la hauteur des espérances !!!

En premier jeu j'ai nommé KOF 98, celui qui devait être l'ultime représentant de la série, et certainement l'un des plus abouti ! Tout est magique dans ce jeu, les graphisme, l'animation la musique, les enchainements qui avec un peu d'entrainement sortent tout seul, bref une réalisation au dessus de tout soupçons.